Jimmy Poussière |
Si vous êtes confrontés
Au malheur le plus grand
Rares sont les livres
Qui ne vous tombent pas des
mains…
La philosophie les romans
Fatras poussière
Seule la poésie parfois
Si elle n’est pas ésotérique
Peut être un viatique
Une clairière…
Moi qui ne la goûte guère
Et n’ai pas de si grandes
peines
J’aimerais pourtant
Tracer les quelques mots
D’un fragile poème
Qui sur ces temps obscurs
Jetterait la lumière la plus
pure
Et nous réconcilierait …
Le texte appartient au recueil autoédité Les heures
captives (décembre 2012). Je l’ai lu hier soir lors de l’Octogone des poètes. Merci
à Alexandre et au Divanoo. Frédéric Perrot
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