Hambourg |
La sueur et le café
Percolés, expectorés
Pour chevaucher la montre jusqu’à la matinée
Encore et encore la draguer
Humer, deviner l’espoir
Une heure, une minute en plus à avoir
Feu, qui embrase tout de noir
Ah, douce promesse de la revoir
Corps à corps, joute amicale
Je descends, remonte, détruis ton piédestal
T’idolâtre comme une vestale
Puis te prends comme un animal
Insomnie : trop tard, ils me fuient
(Souvenirs, toi) ; et puis quoi ?
A la recherche, tel un oiseau de proie
Mais … le travail n’attend pas.
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