La moindre des choses est
de renvoyer l’effet-miroir.
Plus, est évidemment
bienvenu. O joie.
Vous êtes face à
vous-même, ce n’est pas nécessairement évident, de s’admettre.
Vous manquez d’à peu près
tout. Vous priez.
Vous prenez de l’âge,
bien obligé de reconnaître que vous diminuez, au moins physiquement.
L’effet-miroir ne donne
pas l’avantage, il a le mérite d’encaisser les coups immérités, lorsqu’il se
produit. Vous ne le cherchez pas, c’est un moindre mal.
Je l’aime bien, au fond.
Il me donne le la, quant à la conduite à suivre, si je ne sais pas. Jusqu’à ce
que m’interroge, s’il me le demande. Il me fait du bien, quoi qu’il en soit, je
regarde autour de moi aussi en même temps. Je fais attention. Ce qui compte est
ceux que j’aime, et ce que j’aime. En définitive, tout se rejoint ou se distend,
reste l’âme, ineffable.
L’amour, l’amitié, la famille,
l’entourage, chaque être est complexe. Nul ne mérite un désamour en bout en
fil. Chaque être mérite l’amour sans compter. Sans compter. Juste, ne pas s’oublier,
l’effet-miroir nous rappelle chaque fois.
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