Une mort qui m’a peiné et me peine…
Rachid Taha. Il était, est et restera
une preuve vivante dans sa musique que la « France moisie » dont on nous chante sans cesse les louanges,
n’est pas une fatalité… Je me souviens
de son duo avec Alain Bashung – « Ode
à la vie/Ode à la poésie » –
et des innombrables soirées où pour le plus grand plaisir des danseurs,
retentissait sa musique.
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RépondreSupprimerL'expression "France moisie" est empruntée à Philippe Sollers : « La France moisie a toujours détesté, pêle-mêle, les Allemands, les Anglais, les Juifs, les Arabes, les étrangers en général, l’art moderne, les intellectuels coupeurs de cheveux en quatre, les femmes trop indépendantes ou qui pensent, les ouvriers non encadrés, et, finalement, la liberté sous toutes ses formes.» (Philippe Sollers, Eloge de l'infini)
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