« La mort… nous affecte plus profondément
sous le règne pompeux de l’été. » (Charles Baudelaire)
Retour à la saison sèche
À la prose des jours
Dont les noces avec la
lumière
Ont été rompues
L’été l’abrutissement
Peut être complet
Le corps sans désir
Supporte
La misère de l’esprit
L’absence de pensée
C’est l’heure de l’exil
Hors des mots
De l’évaporation
De toute vie personnelle
Frédéric
Perrot
Oui... parfois "la Saison en enfer" est tout un été ! Courage Fred...
RépondreSupprimerMerci Hugues pour ton commentaire ! A bientôt
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