Tim Burton |
grattements
névrotiques
déplacements furtifs
fouissements
compulsifs
syncopes de
claquements
craquements inopinés
clapotements vaseux
glouglous gouleyants
chapelets de cris
hystériques
lamentos d’ululements
cherchant la solitude
dans les marais de la
forêt rhénane
on se sent rapidement
envahi
par une insupportable
et
invisible multitude
travaillant
frénétiquement
à une perpétuelle fin
du monde
Le poème a été lu la
semaine passée lors de l’Octogone des poètes.
Eh oui, la nature est cruelle!
RépondreSupprimerBon choix d'illustration...
RépondreSupprimerMerci
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