Les heures captives
Neige matin brumeux
J’ai l’habitude des heures captives
À celui
Qui trop
longtemps
Est demeuré
penché
À sa table
de travail
Afin de
traduire
Dans une
langue
Accessible
Les
illusions
Et les
absences
De sa pensée
Il peut
arriver aussi
D’être saisi
par le désir
De soudains
départs
De brusques
mouvements
Qui
témoigneront
De son
existence
Parmi les
vivants…
Frédéric Perrot
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