« Raconter, c’est
empêcher que la mort ait le dernier mot. »
Yannick Haenel
Quatrième de couverture :
Dans l’après-midi du 16 octobre 2020, Samuel Paty est
assassiné par un islamiste tchétchène. Il venait d’avoir 47 ans. Il était père
d’un petit garçon.
Samuel
Paty aimait la musique, le rock des années 80, surtout Sigur Ros, U2, Goran
Bregovic, Pink Floyd et Apocalyptica.
Il
était passionné d’histoire, appréciait la poésie, lisait Baudelaire, Balzac,
Maupassant, Zola, Flaubert et Julien Green. Il jouait souvent aux échecs. Au
tennis et au ping-pong aussi. Dans la salle des professeurs, il déambulait avec
sa tasse « Star Wars » à la main.
Ses
élèves l’appréciaient pour son enseignement… et pour ses blagues consignées
dans un carnet jamais loin de son cahier de classe.
Un
jour, il avait dit à une ancienne élève : « Je voudrais que ma vie et
ma mort servent à quelque chose. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire