Si vous saviez tous les discours pompeux
Auxquels votre ignoble mort a donné lieu,
Combien nombreux se sont réjouis
Arguant que vous l’aviez bien cherché,
Si vous saviez que vous avez eu droit
Aux hommages de la nation reconnaissante
Et combien ces hommages ont été bâclés,
Que votre nom est devenu pour les uns un
totem
Et un sujet de querelles sur les funestes
réseaux
Où d’autres déjà sont menacés –
Si vous saviez tout cela,
Que pourriez-vous dire ?
Je n’aurai pas l’indécence de parler à
votre place.
Le
poème est à lire dans la rubrique « Coup de gueule » de ce numéro 61.
Merci à Elisée Bec.
Pour
aller lire la revue :
Bravo Fred...
RépondreSupprimerTrès beau Fred , touchant et juste
RépondreSupprimerMerci Anton. A bientôt.
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