L’autre
jour
Dans
L’Express
J’ai
lu un billet d’humeur
De
Christophe Donner
Non
sans justesse
Il
se moquait de la lettre d’Annie Ernaux
Au
Président
Se
revendiquant d’un autre Boris Vian
Accusait
l’écrivaine
De
moralisme…
Il
aurait pu être savant
Parler
de moraline
Comme
Nietzsche…
Je
n’ai rien lu de ce Christophe Donner
Ce
que je voudrais lui dire
C’est
que sans tomber
Dans
un sentimentalisme écœurant
Nous
n’avons pas tous le privilège
De
nous croire des esprits libres…
Il
est très facile d’être ironique
Sur
un écrivain
Mais
mieux vaudrait être ironique
Sur
nos gouvernants…
La
véritable ironie ne se trompe jamais de cible
Frédéric Perrot
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