Quatrième de couverture
C’est l’histoire d’une
fille qui n’est pas d’accord avec l’ordre social.
Nos visages sont-ils des
images, des devantures ?
Notre attention est-elle
devenue une propriété, comme les terrains ?
Est-ce que quelque chose
s’est cassé en nous ?
De l’enfance à
l’écriture, en passant par un bar mystérieux, une maison abandonnée, un
immeuble rempli de sectes, ou le sommet d’une montagne, la narratrice nous
entraîne dans une odyssée parsemée de miroirs homériques, de chants d’aèdes qui
nous montrent le livre en train de se faire.
Les Forces reprend
et détourne les motifs du roman d’apprentissage.
Alternant le prosaïque et
le théorique en un éclair, le livre se déploie dans une narration allant du
tragique au comique. Nous vivons le parcours initiatique et politique de la
narratrice. L’ensemble est porté par une nature perçue comme un flux incessant,
une énergie vitale, dont chaque élément peut contenir la totalité. On pense à
Fiodor Dostoïevski, à Samuel Beckett, à Simone Weil également dans son approche
de la force.
Un roman cardinal dans
l’œuvre de Laura Vazquez.
Laura Vazquez, Les Forces
Editions du sous-sol
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