« Par ces lamentations, elle
exprimait son amour de la vie, cette vie sans grâce ni charme et presque sans
dignité, mais d’un dessein irréprochablement conforme à lui-même, jusques et y
compris dans l’assassinat. Et, comme il arrive souvent aux lamentations de la
malheureuse humanité, riche de souffrance mais pauvre en mots, la vérité, le
cri même de la vérité, se fit entendre sous une forme usée et artificielle
trouvée parmi les formules galvaudées par les sentiments imités. » (Joseph
Conrad, L’Agent secret)
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